🇨🇦 Il Est Écrit

On l’a dit et redit : ces dernières années, les problèmes de santé mentale, de dépression et d’anxiété sont à la hausse. Ils ont même explosé depuis la pandémie de Covid-19. Pour gérer problèmes d’anxiété généralisée, on propose généralement des médicaments, qui ont leur bons et leurs moins bons côtés. On pense particulièrement aux effets secondaires. Avec notre invité, nous allons chercher à mieux comprendre les causes de l’anxiété généralisée et les meilleures pistes pour y faire face et la surmonter.

Si on devait dresser une liste des maux que l’on redoute le plus, il est à peu près certain que pour beaucoup d’entre nous le cancer figurerait dans la liste, peut-être même en haut de la liste. Selon les estimations de Santé-Canada, entre un 1/3 et la moitié des Canadiens devront faire face à un cancer durant leur vie. Et même si le cancer n’est heureusement pas toujours mortel, il est quand même synonyme d’épreuve et de souffrance. Alors, est-ce une fatalité ? Ou y a-t-il moyen de mettre toutes les chances de notre côté ?

Vous est-il déjà arrivé de faire une prière et de vous rendre compte que les mots sortent un peu mécaniquement de votre bouche, que votre cœur n’y est pas vraiment ? Avez-vous parfois l’impression que votre prière ne se rend pas plus haut que le plafond de votre appartement et que vous manquez de foi pour croire que Dieu peut vraiment y répondre ? Y a-t-il des jours où vous n’avez pas envie de prier, ou vous ne savez pas quoi dire dans votre prière ? Comment prier, mais prier vraiment ?

On parle de plus en plus dans notre société des personnes qui souffrent de dysphorie de genre, ceux et celles qui ont le sentiment de ne pas être dans le bon corps et s’identifient plutôt au sexe opposé. La transsexualité fait désormais partie des démarches habituelles, de plus en plus jeune. Mais cette démarche règle-t-elle toujours les problèmes identitaires ? Est-elle sans risque ? Que se passe-t-il si on la regrette ? Nous vous proposons cette semaine un témoignage percutant d’un homme qui a cru qu’il était une femme.

Malgré les grands changements dans notre monde moderne, les grandes questions existentielles que se posent les êtres humains sont toujours les mêmes: D’où venons-nous ? Quel est le sens de notre vie sur cette terre ? Pourquoi ce combat perpétuel entre le bien et le mal ? Où allons-nous ? Et forcément: Dieu existe-t-il ? Et Lucifer ?

On va parler de la terre, avec l'invité du jour, Claude Trépanier. Cette terre qui reçoit la semence, fait germer les plantes et donne toutes sortes de fruits, de légumes ou de céréales. Cette terre qui a inspiré le Christ et a donné une parabole souvent présentée comme la parabole du semeur, mais que je préfère appeler : la parabole des terrains.

Qui n’a pas déjà égaré un objet de valeur pour ensuite le chercher sans relâche, avec l’espoir de le retrouver? Cette semaine nous redécouvrons le merveilleux message de la célèbre parabole du Berger qui part à la recherche de sa brebis égarée.

Pour être en bonne santé, il faut avoir un cœur en forme, respirer à pleins poumons, préserver des vaisseaux sanguins libres de plaques d’athérome, il faut un système nerveux bien équilibré, et en général des organes fonctionnels. Mais depuis quelques années, on parle de plus en plus d’un élément-clé pour notre santé, qui a souvent été mésestimé : le microbiote intestinal. Vous ne voyez pas bien ce que c’est ? Installez-vous confortablement, et découvrez avec notre invitée, Danièle Starenkyj, un secret de la santé totale.

On dit que la musique adoucit les mœurs. Un dicton sans aucun doute tiré de l’observation millénaire des effets positifs de la musique sur le genre humain. On associe souvent la musique à la convivialité, à la fête, au plaisir et même à la foi vivante. Mais aujourd’hui la science réalise que la musique fait bien plus qu’adoucir les mœurs. Elle constitue un outil thérapeutique de choix, elle favorise la guérison. Avec Danièle Starenkyj.

Apocalypse ! À lui seul le mot fait peur. Il a évoqué à travers les siècles des images effrayantes et angoissantes. Des images de catastrophes naturelles, de guerres, d’épidémies, des images de fin du monde. Et certains films à grand spectacle ont ravivé auprès du grand public la connotation catastrophiste du mot apocalypse. Mais aujourd’hui, peu de gens se souviennent que le mot apocalypse est rattaché au dernier livre de la Bible, qui porte ce nom. Et vous, connaissez-vous le livre de l’Apocalypse ?

Avec notre invité Paul Scalliet, il sera question de repos, plus précisément du jour de repos hebdomadaire dont nous avons tous besoin et que le Créateur a mis à part pour nous chaque semaine. Nous allons nous demander comment vivre ce jour de repos, que la Bible appelle aussi le sabbat, pour en faire un jour bienfaisant, riche et spirituel ?

Avec l'invité de cette semaine, Paul Scalliet, on répond à une question que plusieurs auditeurs nous posent régulièrement : est-ce que le Christ, pendant son ministère public, n’a pas montré que le commandement du sabbat était devenu inutile ? N’a-t-il pas aboli le jour du repos hebdomadaire ?

Combien de temps devrons-nous attendre avant de voir se réaliser la promesse faite par le Christ de revenir sur cette terre pour créer un monde nouveau ? Et comment être prêts pour ce grand rendez-vous, quel que soit le temps d’attente ? C’est le thème abordé avec l’invité de cette semaine, à travers une histoire un peu surprenante, celle d’un mariage en pleine nuit !

Le moins qu’on puisse dire, c’est que l’actualité mondiale de ces dernières années a été bouleversée. De la pandémie de Covid-19 à la guerre en Ukraine et ailleurs, en passant par les risques de crise économique mondiale et la quasi-certitude d’une crise écologique et climatique planétaire, tous les ingrédients sont réunis pour créer une certaine anxiété, un sentiment de catastrophe imminente. Et la question qu’on se pose souvent en période de crise revient avec une acuité plus grande que jamais : Mais où est-ce qu’on s’en va ? Où va notre monde ? Qu’est-ce qui est devant nous ? La terre et l’humanité ont-elles un avenir ?

« En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d'eau et d'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l'Esprit est esprit… Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit ; mais tu ne sais pas d'où il vient ni où il va. Il en est ainsi de quiconque est né de l'Esprit. » Ainsi s’exprimait Jésus dans son dialogue avec Nicodème, le rabbin juif. Il essayait de lui faire comprendre l’extrême importance de l’œuvre, à la fois mystérieuse et très concrète, du Saint-Esprit dans le cœur d’un être humain. C’est le thème principal de notre émission de cette semaine.

Nous sommes en entrevue avec Denis Fortin, docteur en théologie et professeur à l’Université Andrews, au Michigan. On parle avec lui d’un sujet qui revient très régulièrement dans vos questions et vos commentaires : de quoi ou de qui est-il question, quand on parle de ce sujet un peu mystérieux : le Saint-Esprit ?

On se pose ensemble cette question : la Bible que nous avons entre les mains, est-elle la même que celle qui a été écrite originellement ? Ou bien a-t-elle été modifiée au fil des siècles ? Aurait-elle été falsifiée ?

Il y a ceux qui aiment Noël et ceux qui ne l’aiment pas. Ceux qui le considèrent comme un moment privilégié pour passer du temps en famille ou entre amis, et ceux qui redoutent le temps des fêtes où ils ressentent encore plus la solitude. Il y a ceux pour lesquels Noël est une invitation à la générosité et au partage, et ceux pour qui la débauche d’achats et de cadeaux est bien la preuve que ce n’est qu’une fête commerciale. Il y a les croyants qui vivent la période de Noël comme un temps fort de leur vie spirituelle et ceux qui ne comprennent pas qu’on ait pu intégrer dans le calendrier chrétien une telle fête païenne. Alors, Noël ou pas Noël ?

Ils sont des centaines de milliers qui, chaque année, choisissent d’enfiler leurs chaussures de marche, de prendre un gros sac à dos et de partir pour un long périple à pied, qui peut durer quelques semaines ou quelques mois, sur un ancien chemin de pèlerinage qu’on appelle le chemin de Compostelle. Qu’est-ce qui pousse des hommes et des femmes de partout dans le monde à aller marcher et souvent souffrir ainsi pendant des semaines ? Cette semaine je rends visite à un Québécois qui nous explique pourquoi il a déjà pris deux fois la route de Compostelle.

Pour ceux d’entre nous qui aiment la lecture, il y a des livres qui ont accompagné notre enfance ou notre jeunesse. Vous savez ces livres qu’on a lu et relu, des histoires passionnantes, des récits palpitants, des intrigues à suspens, qui tour à tour nous ont fait rêver, rire, pleurer ou nous ont simplement tenus en haleine. Et puis, il y a les livres, plus rares, qui nous ont fait vraiment réfléchir, qui ont orienté notre manière de penser, qui ont contribué à changer notre vie, qui nous ont marqué profondément et pour toujours…

La Cour suprême des États-Unis a décidé le 24 juin 2022 de déclarer l’arrêt Roe contre Wade infondé et donc de l’annuler. Ce faisant, elle redonnait à chaque État la liberté d’autoriser ou non l’avortement, ou d’y mettre des conditions particulières. Cet arrêt de la Cour suprême a provoqué des réactions intenses et contradictoires non seulement aux États-Unis, mais à travers le monde. Certains ont sauté de joie, tandis que d’autres explosaient de colère. En réaction à cette décision de la Cour suprême des États-Unis, certains pays ont proposé d’inscrire le droit à l’avortement dans leur constitution pour le rendre immuable. Une chose est sûre, le sujet de l’avortement ne peut laisser personne indifférent.

Pour la plupart des jeunes Québécois, la religion n’a jamais fait partie de leur quotidien. Ils ont bien suivi quelques cours où il est question de culture religieuse, mais c’est plus du domaine de l’histoire ou de la découverte du monde que de l’expérience personnelle. Pourtant, à l’inverse de la génération précédente qui a majoritairement rejeté l’Église et la religion, la jeune génération semble ouverte à la spiritualité, sous différentes formes, et il y a même chez plusieurs une soif de connaître Dieu.

Je ressentais un fort bourdonnement dans les oreilles. Devant moi se présentait une sorte de tunnel sombre dans lequel je me suis senti aspiré et que j’ai traversé rapidement, attiré par une lumière que je voyais tout au bout. Tout à coup, j’ai senti une petite secousse et mon esprit s’est littéralement séparé de mon corps physique et je me suis mis à planer au-dessus de la rivière. Je voyais mes amis tirer mon corps vers le rivage. C’est alors que du côté de la lumière, un groupe de belles personnes est apparu et m’a accueilli avec un amour infini. Ils m’ont fait signe de les suivre et j’ai pu contempler un paysage d’une beauté absolument indescriptible. Que faut-il penser des expériences de mort imminentes ?

Aujourd’hui, quand quelqu’un est malade, on lui dit rarement : « je vais prier pour toi. » On lui dira plutôt : « je t’envoie plein d’ondes positives » ou « plein d’énergie positive. » Les énergies positives sont à la mode, tout comme les bonnes vibrations. Et certains y croient tellement, à ces énergies positives, qu’ils proposent des traitements énergétiques pour soigner des maladies de toutes sortes. Faut-il y croire ? Que sont ces « énergies positives » ? Et où nous conduisent-elles ?